'' Tu es l'arbre dont je suis.
Je n'ai pas de sens si je suis seule.''
Elle disait:
''Ma maison elle est au creux de ton épaule. ''
Et rien ne lui était sur terre
Que la chaleur de cette épaule.
Arbres arrachés, maisons emportées....
Elle est devenue
Cet arbre et cette demeure.
Fin d'après-midi du premier juin
Je n'ai pas de sens si je suis seule.''
Elle disait:
''Ma maison elle est au creux de ton épaule. ''
Et rien ne lui était sur terre
Que la chaleur de cette épaule.
Arbres arrachés, maisons emportées....
Elle est devenue
Cet arbre et cette demeure.
Fin d'après-midi du premier juin
Acuarelle : Donatienne
Photo : Manuel G. Vicente
Texte : Marie S.
Texte : Marie S.
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